Les cas de troubles anxieux et de dépression ont augmenté de façon exponentielle au cours des cinquante à soixante dernières années. Un demi-siècle plus tard, au moins cinq fois plus d’adolescents et de jeunes adultes souffrent d’anxiété ou de dépression. Le 20e siècle a été traversé par la guerre, la dépression économique, la maladie, toutes des circonstances qui demeurent encore à ce jour. Pourquoi alors sommes-nous si émotionnellement sensibles en ce 21e siècle si performant pour ce qui est de la technologie?
Selon certains experts, la notion d’individualité a changé. Il y a cinquante ans, le but d’un jeune adulte dans la vie était de réussir dans le chemin qu’il s’était choisi, d’être aussi bon qu’il le pouvait. Le succès était entre ses mains. Aujourd’hui, l’objectif poursuivi est plus matérialiste ; à savoir, amasser autant de richesse que possible, une cible sur laquelle le jeune n’a pas de contrôle direct. Les qualités valorisées sont passées de l’intériorité – être une bonne personne, un bon ami, un bon parent – à des vertus externes – posséder une belle maison, une nouvelle voiture, avoir les vacances les plus exotiques-. Des parents surprotecteurs, des attentes scolaires plus élevées, moins de place accordée au jeu libre et la gratification instantanée dans notre monde de la technologie contribuent au développement de l’anxiété.
Quelles que soient les raisons de leur augmentation, les troubles anxieux sont réels ; il s’agit de phobies, de troubles paniques et d’anxiété sociale. Avez-vous déjà rencontré quelqu’un dont le souci premier est de planifier sa journée dans le but d’éviter un lieu ou une situation inconfortable? Cela peut devenir une peur ou une obsession si écrasante, que ces maladies mentales peuvent véritablement perturber la vie quotidienne. Et ce ne sont pas de simples crises passagères qu’une personne peut facilement éviter ou surmonter. Si vous connaissez quelqu’un avec un trouble anxieux, il aura besoin de votre compréhension, de votre sympathie et de votre aide.
À DFAC, nous comprenons les symptômes d’anxiété et leurs effets débilitants. Les prestations d’invalidité peuvent alléger le fardeau financier impliqué dans le coût du diagnostic et du traitement de cette anxiété. Du coaching professionnel, un travail sur soi ainsi qu’un membre de famille attentif peuvent faire la différence entre l’anxiété étouffante et l’anxiété normale qui fait partie de la vie de tous les jours. Contactez DFAC aujourd’hui! Et à votre santé!